Lorsque vous jeûnez pour la première fois, il est possible que vous ressentiez des « symptômes de désintoxication » accrus tels que des maux de tête, des nausées ou encore des symptômes pseudo-grippaux. Cela est généralement dû à la caféine, au sucre, à la nicotine ou à l’alcool. Ces symptômes devraient toutefois disparaître dans les 24 heures.
Accordez-vous du repos, évitez le stress et allongez-vous. Une fois que vous êtes dans le métabolisme du jeûne et que votre corps a fait la transition, vous vous sentirez mieux et vous aurez plus d’énergie.

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En cas d’affection aiguë, présentant des symptômes clairs, nos médecins conseillent effectivement de reporter. Si vos symptômes sont sans gravité, le mieux sera d’écouter votre corps et de décider en fonction. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter votre médecin de famille.

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Réponse inspirée de l’ouvrage de Françoise Wilhelmi de Toledo, dédié au Jeûne Thérapeutique : « Buchinger Heilfasten – Die Original-Methode »] 

S’ils s’avèrent le fléau de la plupart des caféinomanes en manque de caféine, les maux de tête peuvent également être favorisés par la déshydratation des premiers jours, mais aussi par la fameuse détoxication. La bonne nouvelle : les douleurs disparaissent souvent en un éclair après un bon lavement intestinal. Il est donc fortement recommandé de procéder en amont à un lavement, boire abondamment, faire un drainage lymphatique de la tête, se masser les tempes avec quelques gouttes d’huile essentielle de menthe, bien se reposer et prendre l’air. Autre remède efficace, la poche de froid sur le front. Il est rare de devoir avoir recours à des médicaments. Notre botte secrète : se mettre à jeûner par étapes ! 

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Si, malgré une utilisation correcte de la bandelette, cette dernière devait indiquer que votre organisme n’était pas encore passé en mode cétogène, les causes pourront être multiples, la cétose étant influencée par moult facteurs. Parmi les responsables potentiels, citons d’emblée la consommation excessive de glucides (peut être aurez-vous forcé un peu trop sur le miel ?), mais aussi le métabolisme, l’équilibre acido-basique ou la fonction rénale, voire, le comportement en matière de boisson qui risque même de fausser carrément les résultats.

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En deux mots, disons que la cétose est un état métabolique durant lequel l’organisme utilise les graisses comme source d’énergie primaire. En temps normal, le corps puise son énergie dans le sucre, c’est-à-dire qu’il « carbure » aux glucides. Privé de ces derniers pendant une période prolongée, il va devoir trouver une alternative. C’est à ce moment que la cétose entre en jeu. Dès que les réserves de glucose sont épuisées, les graisses endogènes vont être mobilisées et en partie transformées en cétones dans le foie. C’est ce qu’on appelle la cétogenèse. Les cétones fournissent le corps en énergie. Le processus de cétose ne démarrant qu’une fois les réserves de glucose dans les muscles et le foie épuisées, on ne peut consommer des glucides qu’en très faible quantité. Mais ne vous inquiétez pas, même en état de cétose, vous ne manquerez pas de tonus, loin de là. Hydrosolubles, les cétones peuvent être transportées par le sang vers tous les organes. Elles traversent même la barrière hémato-encéphalique pour alimenter le cerveau en carburant rapidement assimilable. Tout en activant les cellules nerveuses et les performances cognitives, elles favorisent la production de nouvelles cellules cérébrales à partir des cellules souches. Cela s’accompagne souvent d’une phase euphorique. Il est en outre prouvé que les personnes qui jeûnent régulièrement sont moins sujettes à la dépression, aux troubles anxieux ou aux maladies neurologiques (Parkinson, démence, etc.). De plus, les cétones exercent un effet apaisant sur les inflammations chroniques, lesquelles jouent notamment un rôle majeur dans les maladies inflammatoires chroniques (rhumatismes, allergies, épilepsie, sclérose en plaques, etc.) et les maux de notre civilisation (surpoids, hypertension, diabète, troubles cardiovasculaires, etc.). Au demeurant, la cétose qui intervient en cours de jeûne, mais aussi lors de régimes à forte teneur en lipides, ne soulage pas seulement les douleurs et les symptômes. Elle contribue également à normaliser le métabolisme des sucres et des graisses. Jeûner régulièrement, notamment avec notre COFFRET JEÛNE, favorise le ralentissement des processus de vieillissement des cellules cérébrales et corporelles.  

Au fait, saviez-vous qu’il est possible à une personne d’origine européenne et dotée d’un poids normal, de vivre uniquement sur ses propres réserves de graisse pendant 40 jours ?! Précisons, toutefois, qu’il arrive rarement de devoir suivre un jeûne si long pour des raisons thérapeutiques. 

Selon mes Ketostix®, je ne suis pas en cétose.Ai-je fait une erreur ou une mauvaise manipulation ? 

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Nos médecins déconseillent de jeûner pendant la grossesse ou l’allaitement. En revanche, notre programme de 5 jours convient tout à fait pour amorcer un sevrage en douceur. 

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